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L’Europe c’est la guerre !
mercredi 20 mars 2024, par
Encore inimaginable il y a peu en Europe, la guerre y est aujourd’hui très concrètement en préparation. Des budgets d’armement aux déclarations des Macron, Van der Leyen, et des autres, les signes ne trompent pas ! Le chef d’état major de l’armée de terre française, Pierre Schill, déclare que « l’armée de Terre française se prépare aux engagements les plus durs ». De l’UE à l’OTAN, de Paris qui fait monter la pression à Washington et Moscou, la catastrophe est en préparation. Dans cette vidéo, je donne des éléments qui permettent d’apprécier la situation et de conclure sur la nécessité d’agir massivement contre la guerre, pour sortir de l’Union européenne.
Messages
1. L’Europe c’est la guerre !, 21 mars, 08:14, par Gilles Ringenbach
Merci Jacques pour cet éditorial de fond, solidement argumenté, désignant les causes de cette montée belliciste d’une part et, d’autre part, les va-t-en-guerre y compris (hélas, trois fois hélas) au sein de cette "gauche" qui semble s’inscrire dans la ligne des social-démocraties votant les crédits de guerre à la veille de 1914. Se confirme ainsi un affaissement intellectuel et moral de cette "gauche" en laquelle j’avais tant espéré il fut un temps, cette "gauche" qui ne se sentira pas gênée malgré tout, de vilipender la politique de Macron dont viennent d’être exposées dans cet éditorial, les principales mesures.
Gilles Ringenbach
2. L’Europe c’est la guerre !, 21 mars, 08:24, par Gilles Ringenbach
Merci Jacques pour cet éditorial très argumenté, désignant les causes (pas nouvelles) de cette montée belliciste d’une part et, d’autre part, les va-t-en-guerre à la voix desquels la "gauche" joint la sienne. Cela rappelle ces social-démocraties qui votèrent les crédits de guerre à la veille de la boucherie de 1914-1918. Nous assistons ainsi à un affaissement intellectuel et moral de cette "gauche" en laquelle, j’avais tant espéré il fut un temps ; cette gauche qui ne se sentira pas gênée, par ailleurs, de critiquer les mesures fortement antisociales de Macron, telles qu’exposées dans cet éditorial.
Gilles RINGENBACH