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A propos du vaccin, ignorance, mensonge d’état ou manipulation ?

jeudi 17 décembre 2020, par Jacques COTTA

Après le masque, après les tests, nous voilà entrés dans la phase « Vaccin ». Sur les ondes, dans les communiqués, pas une seconde sans que les « vaccins » Pfizer ou Moderna ne soient vantés. En un mot, le vaccin est là, il faudra se faire vacciner pour vaincre. Toute opposition, plus, toute interrogation aussi minime soit-elle, qui risquerait d’ombrager le ciel radieux de la vaccination contre le Covid 19, serait preuve d’un complotisme stupide et incohérent.

Les termes du débat

Le « complotisme » n’a pas de place ici, non par crainte des foudres qu’il pourrait nous attirer, mais seulement parce qu’il ne sert qu’à exonérer de leurs responsabilités les politiques coupables que nous subissons. Il regroupe en général une sorte d’ignorants utiles au système, tous ceux qui croient que tout ce qui arrive dans l’histoire est le produit de l’action occulte des maitres du monde, au choix les juifs, les pédophiles, les bolcheviks… Il sont le côté face de la médaille lorsque le côté pile est occupé par ceux qui voient des complotistes partout et s’interdisent de penser que les complots réels peuvent exister, les coups tordus, les agents provocateurs.

Si les complotistes sont aisément mis à jour, ceux qui les dénoncent tiennent le haut du pavé pour discréditer toute critique embarrassante, aidés en cela par tous les moyens de communication transformés en période de crise en simple outils de propagande. Pour le Covid, il faut donc prendre garde à ne pas basculer dans les affirmations infondées, non prouvées, et donc sujettes à caution qui ne peuvent que décrédibiliser tout raisonnement, toute objection. Nul besoin de cela d’ailleurs pour émettre quelques doutes raisonnables.

Vaccin ?

Selon l’agence américaine du médicament, il y aurait donc des vaccins efficaces, utilisables, notamment celui de Pfizer ou Moderna qui innovent avec la technique de l’ARN messager, technique qui n’a pour le moment jamais fait ses preuves. Il s’agit d’injecter dans l’organisme des brins d’instructions génétiques appelées ARN messager, c’est-à-dire la molécule qui dit à nos cellules ce qu’il faut fabriquer. Pour parler vite, il s’agit de produire du génétiquement modifié. Nul besoin d’aller chercher une éventuelle puce de Microsoft qui serait implantée dans les organismes à la façon d’un pure film de science fiction pour exprimer son inquiétude. Il suffit de remarquer qu’on tente sur l’homme ce qui est souvent condamné dans une série de secteurs, notamment alimentaires, lorsque les OGM viennent dicter leur loi.

N’étant pas médecin, il me sera difficile ici d’aller plus avant sur cet aspect de la question. Mais comme tout citoyen, il est possible et légitime de s’interroger sur les premiers éléments reconnus et indiscutables.

  • 1/ « Les effets secondaires sont jugés minimes » communiquent laboratoires, ministres et médecins abonnés aux plateaux de télévision. Mais on apprend tout de même qu’à partir de 16 ans, entre un vacciné sur deux et un sur trois connait soit une grande fatigue, soit des douleurs musculaires, soit des douleurs articulaires, soit de fortes migraines, soit plusieurs de ces maux à la fois, pouvant nécessiter arrêts de travail.

Il suffira à la lumière de ces chiffres donnés par les laboratoires eux-mêmes, et qualifiés de peu graves, de constater que le « vaccin » qui n’en n’est pas un puisque utilisant une technique étrangère aux vaccins en général, « collectivise » massivement les effets secondaires. Avec le Covid, ce sont en effet essentiellement les personnes âgées et à risque qui connaissent ces désagréments. Là, ça commence à l’âge de 16 ans.

  • 2/ toujours selon les laboratoires, « les effets indésirables nécessitant une hospitalisation concernerait 0,5% des vaccinés ».

On serait donc dans l’ordre de grandeur des décès du Covid qui ne touche essentiellement que les malades très âgés, souvent atteints d’autres affections très graves. Là encore, le « vaccin » démocratiserait-il les risques ?

  • 3/ « Nous serons sortis d’affaire grâce au vaccin » nous dit-on toujours. Sortis de quelle affaire exactement ? Car en même temps nous apprenons que nul ne peut se prononcer en l’état sur la durée d’immunisation. Ni d’ailleurs sur la contagiosité des vaccinés.

Il y a donc une affaire essentielle dont nous risquons fort de ne pas être sortis avec ce vaccin, c’est l’organisation de la vie collective et sociale. La nécessité de porter un masque risque fort de perdurer. Comme les « gestes barrières ». Comme les restrictions de toute sorte…. Seule différence, avoir été « vacciné » avec cette fameuse technologie ARN messager dont nul ne peut prévoir l’issue, vu qu’il s’agit d’une première.

  • 4/ Il existe des précédents qui rendent sinon prudent, du moins suspicieux. L’arnaque du Remdevisir fait partie de ceux-là.

Gilead, le laboratoire américain concerné, s’est rempli les poches avec ce produit, acheté notamment à coup de dizaines de millions d’euros par l’union européenne, alors qu’il est avéré que les vertus qui lui ont été prêtées pour combattre le Covid sont totalement usurpées. A noter que les citoyens des différents pays européens auront été doublement arnaqués. D’abord sur ce fameux produit présenté dans un premier temps comme miracle avant que ses effets secondaires ne soient épinglés par l’OMS. Ensuite sur le prix, 420 fois plus élevés que le cout de fabrication établi par une équipe de de chercheurs anglais, américains et australiens à 0,93$ la dose.

  • 5/ Ce « vaccin » dont on ne connait pas exactement l’efficacité aujourd’hui, ni la nocivité réelle, mais qui d’ores et déjà s’est montré très lucratif pour les patrons des laboratoires concernés. Par exemple, le PDG de Pfizer Albert Bourla a vendu pour 5,6 millions de dollars d’actions du laboratoire américain, le jour de l’annonce par le groupe de bons résultats préliminaires sur l’efficacité de son « vaccin » contre le Covid 19. La vice-présidente des laboratoires, Sally Susman, a aussi cédé pour 1,8 million de dollars.

Que des chefs d’entreprise gagnent fort bien leur vie n’est pas là le sujet. Mais dans un contexte où la santé semble réduite à la portion congrue, où les hôpitaux manquent tragiquement de lits et de personnels, où les « primes » promises dans le Ségur de la santé se font cruellement attendre, dans un contexte plus général où les citoyens par centaines de milliers, par millions vont voir leurs conditions de vie attaquées, leur travail disparaitre, ce bon ménage entre « vaccin », laboratoires et gros sous pour les dirigeants n’incite pas vraiment à la confiance, et ne pousse pas plus à un élan d’enthousiasme.

Stratégie mondiale ?

Le virus propagé dans le monde entier a suscité des réponses semblables de la part de la plupart des gouvernements. La nature des décisions prises — confinement, couvre feu, gestes barrière, masque, paralysie sociale etc… — est partout de même nature. La question se pose de savoir pour quelles raisons les réponses uniformes sont apportées de la sorte.

Nous avons engagé depuis plusieurs semaines quelques pistes de réflexions. On trouvera ici « le Great Reaset de Davos » ou encore dernièrement « L’IA et la restructuration du capital à l’échelle mondiale » . Toutes les mesures restrictives mises en place au moyen d’internet notamment —Le télé travail, la désertion des facultés, les tentatives de supprimer les cours traditionnels jusqu’au lycée et au collège, la médecine à distance …— trouvent leur cohérence dans les recommandations du forum de Davos.

Nous nous appuyons non sur des spéculations, mais sur des faits précis, des textes, des déclarations pour tenter d’envisager les véritables intentions des gouvernants et les conséquences des politiques qu’ils mettent en place. voir ici.

Le président de la république Emmanuel Macron a nommé l’ancien ministre de l’économie et des finances de Chirac de 1995, Jean Arthuis, président de la commission chargée « du devenir de la dette Covid ». Selon l’homme de l’euro, il faudra pour rembourser assécher la dépense publique. Cela signifie en d’autres termes réduire plus encore les services publics, reprendre à l’enseignement les milliards nécessaires à son fonctionnement en supprimant quantité de postes et en fermant de nombreux établissements, agir de même dans tous les secteurs dont celui de la santé, sans oublier la manne que constituent les retraites, dossier que le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, s’impatiente de voir traiter.

En réalité ce sont bien les impératifs et les lois de la lutte des classes qui guident les politiques mises en place. Et ce sont les mêmes impératifs et même lois qui devront permettre à l’immense majorité faite des travailleurs, des salariés, des jeunes, de retraités, des artisans, des petits commerçants, des producteurs associés, de s’organiser pour résister, reprendre l’offensive et l’emporter.

Jacques Cotta
Le 15 décembre 2020

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