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L’hôpital en perdition, patients à l’abandon

dimanche 14 août 2022, par Jacques COTTA


Je livre là une enquête sur les conséquences pratiques de la politique hospitalière de droite comme de gauche qui depuis 30 ans liquide la santé, politique aggravée par Emmanuel Macron depuis qu’il est au pouvoir. Il s’agit d’une patiente dont le passage à l’hôpital est difficilement croyable. Pourtant tous les faits sont vérifiés, rien ne relève de la fiction. A vous de voir, d’apprécier, de partager...

Messages

  • Monsieur Cotta,

    Je désirais lire votre enquête, indiquez moi à quel endroit du site elle est publiée.
    Personnellement je vis une histoire bien pire, et absolument inimaginable.
    Mon mari qui fut hospitalisé pour une chute à la maison, n’est plus jamais revenu à la maison.
    Covid a permis aux autorités sanitaires de garder un mutisme parfait à l’encontre de sa famille. On ne sait toujours pas quel médecin l’avait pris en charge à l’arrivée à l’hôpital, dans quel service il était admis, quel diagnostic s’il en ont posé un, quel plan de soin s’il y en a eu, pourquoi et de quoi il est mort. Je n’ai jamais pu accéder à son dossier.

    A la lecture des factures, il y a eu surtout beaucoup de médicaments injectés en perfusion : Remdésivir, Tocilizumab et morphine. Des produits qui ont tué déjà beaucoup de gens dans les EMS ou HEPAD français. Il en ressort donc que c’était essentiellement l’Université de Bâle qui s’y était impliquée puisque c’est elle qui a établi les factures que l’hôpital doit lui payer. Donc à moi-même de payer subsidiairement.

    Mes questions sont les suivantes :

    Pendant ladite pandémie de la Covid-19, les établissements médicaux hospitaliers ne délèguent-ils pas à la fameuse université de Bâle, la prise en charge d’un certain nombre de patients âgés ?
    On sait que l’Université de Bâle, c’est essentiellement des laboratoires de chimie et de bio-chimie. Historiquement, Bâle est un centre de chimie industrielle. Avec Covid, ces industries se sont discrètement recyclées dans le pharmaceutique tout comme le BASF allemand qui fournit du graphène aux vaccins.

    l’autre question c’est : les patients âgés n’ont-ils pas été sacrifiés à l’expérimentation de bio-pharmacologie comme des animaux de laboratoire ?

    Une dernière question : il s’agit de savoir dans quelle mesure les états ont pris la liberté d’introduire dans leur politique de santé des acteurs d’un autre domaine complètement étranger au médical qui auraient commis involontairement ou volontairement des bavures que les responsables des hôpitaux couvrent.
    D’où ce silence qu’ils opposent à la famille dès le premier jour, dès son arrivée aux urgences.

    Les trois personnes que j’avais pu rencontrer (dont j’ai les noms qui peuvent être empruntés ou fictifs) après des sollicitations quotidiennes pour rencontrer le médecin de service et la possibilité de revoir mon mari quand il était encore vivant, m’avaient vendu sa mort comme une chose naturelle et inéluctable et dont il fallait se préparer à faire le deuil le plus rapidement, ces personnes sont restées introuvables sur la liste du personnel de cet hôpital qui disait même ne pas les connaitre après une recherche sur leurs listes et organigrammes.
    Mais la direction de l’hôpital se mure dans son mutisme, comme si mon mari n’avait pas existé ni que je n’existe en tant qu’épouse du défunt avec des droits de savoir, ni en tant que personne physique.

    En Suisse, nous avons bien quelques rares associations qui dénoncent les effets indésirables graves des vaccins, mais aucune ne s’est penchée sur ces questions portées sur la dérégulation de nos institutions, alors que la surmortalité en Suisse en milieu hospitalier est très significative, bien plus que dans les homes médicalisés.

    Devant un tel vécu, nos médecins, en l’occurrence le mien, de premier recours, restent interdits voire terrorisés. Ils n’osent émettre aucun avis, aucune appréciation. Ils préfèrent que vous vous adressiez ailleurs.

    Ce qui manque en Suisse, c’est des journalistes courageux et solides pour mener ce genre d’enquêtes, car il faut consacrer un peu d’énergie, du temps, un peu de son intelligence et un peu de saine curiosité.
    Hélas, depuis que la Suisse est lancé dans les sciences de la communication, il n’y a plus que des copistes et des porte-voix des élites politiques et financières.

    Il apparait donc que vouloir faire la lumière sur un phénomène fait de vous un complotiste. Vouloir savoir comment et pourquoi mon mari est décédé ferait de moi une personne soit dérangée, soit complotiste.

    Vous pouvez me contacter. Je tiens l’ensemble de la documentation à disposition d’un enquêteur sérieux. Ce volets de questions n’a jamais été proposé par aucun journaliste, aucune association de défense des patients et de leur famille.
    Jusque là, quelques affaires analogues ou semblables ont été portées devant la justice mais elles privent le public de beaucoup de réponses qui auraient confirmé la pertinence dans ces questions.

  • OMS : Le 27 mai 2022, lors de la 75e Assemblée mondiale de la Santé, les 194 pays membres ont adopté des amendements au Règlement sanitaire international.

    Il y a urgence à se pencher sur ce qui se passe en ce moment à l’OMS.
    La France, la Suisse, l’Allemagne... Et tous les pays de l’UE sont concernés. Ils sont parties prenantes et contributrices pour un supra-état supervisant la santé publique avec des lois contraignantes.

    https://jamesroguski.substack.com/p/silence-procedure?utm_source=post-email-title&publication_id=746475&post_id=106098723&isFreemail=true&utm_medium=email

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